Dialogue entre Jacqueline Picoche et Jean-Claude Rolland
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Dialogue entre Jacqueline Picoche et Jean-Claude Rolland
Un dialogue entre Jacqueline Picoche et Jean-Claude Rolland
JC : Il faudra bien qu’un jour un savant ayant plus d’autorité que moi décrète l’invariabilité générale du participe passé...
Je ne serai sans doute alors plus de ce monde pour constater que j’ai eu raison trop tôt... JC
JP : “Qui vivra verra”…
JC : Il sera malheureusement trop tard. D’ici là, au grand dam d’Hubert, la plupart des Terriens se seront tournés vers une langue à la grammaire d’une simplicité biblique et aux productions littéraires et intellectuelles qui n’ont rien à envier à celles écrites en français.
Je suppose que tu as deviné de quelle langue et de quelle culture je parle...
JP : Pas difficile à deviner…
JC : Il faudra bien qu’un jour un savant ayant plus d’autorité que moi décrète l’invariabilité générale du participe passé...
Je ne serai sans doute alors plus de ce monde pour constater que j’ai eu raison trop tôt... JC
JP : “Qui vivra verra”…
JC : Il sera malheureusement trop tard. D’ici là, au grand dam d’Hubert, la plupart des Terriens se seront tournés vers une langue à la grammaire d’une simplicité biblique et aux productions littéraires et intellectuelles qui n’ont rien à envier à celles écrites en français.
Je suppose que tu as deviné de quelle langue et de quelle culture je parle...
JP : Pas difficile à deviner…
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